Lup-Da-Vop Hotto [Fini... Ou pas?]

- Nom:Lup-Da-Vop.
- Prénom:Hotto.
- Surnom: H1, Iron-Arms.
- Date de Naissance: inconnu.
- Age: 27 ans, mais c'est une supposition.
- Nationalité:Slaves (vient des pays froids. Rien de plus précis.)
- Alignement: [Freelance ]
- Statut: [Tueur, tente de devenir chef TOTAL des Freelances.]

-Description Physique: Hotto est une sorte de masse de muscles aux épaules carrées et à la carrure tout à fait impressionnante: 2m05 pour 100kg de muscles, ce type à la peau pâle et aux longues dreadlocks noires semble sorti d'un jeu de combat de mauvais goût. Son visage, très fin et très dure, se ponctue de focette aux joues et d'un menton droit et carré, recouvert d'une petite barbiche noir. Ses yeux fins font penser à ceux d'un aveugles tellement ils sont pâles, c'est à peine si on en voit la couleur et les contours (il y voit pourtant très clair). Il les entoure généralement d'une quantité de rimel noirs très abondantes, ce qui pali à l'absence de sourcil. L'arrete de son nez aquilin est cassé, et sa bouche porte assez bien les différentes coupures qu'il a pu se faire durant ses 27 années de folies furieuses. Ah, dernier détail: le bras droit d'Hotto... Est mécanique.
Il s'habille généralement avec du blanc, du gris et du noir, évitant les couleurs vives qu'il trouve trop agressives. La majeure parties de sa garde robe se compose d'un long manteau de cuir noir, d'un tee shirt ou d'un marcelle (voir une chemise) blanche, et d'un jeans noir. Quant à ses chaussures, il ne les aime que très bien cirées, en cuir, de préférence les rangers de sécurité.

-Description Psychologique: Quatre grands axes définissent Hotto: Psychopathie, Immoralité, Folie et Protection.
Le premier explique assez bien sa manière de se battre: il ne se voit jamais comme une proie, et trouve dans la mise à mort une sorte de bonheur malsain dont il ne pourra jamais se séparer. Il vit dans le sang et préfèrerait s'y noyer plutôt que de se ranger. A chaque coup qu'il donne où qu'il reçoit, il sent l'excitation montée et ça augmente, selon lui, ses "performances". tuer n'est pas juste un Art. C'est aussi un passe temps.
Le second point, c'est sa manière de se comporter. Tricheur, mauvais joueurs, sans pitié ou scrupules aucuns, Egocentriste (ou presque), sûr de lui, Pervers, menteur, mauvaises langues, grossier, très intelligent, manipulateur et la liste s'allonge chaque jour un peu plus, il n'est pas question pour lui de se remettre en question. Il est cependant un excellent leadeur quand ça lui prend, et sait toujours peser le pour et le contre, mais pour les autres.
Le troisième point signifie juste que rien d'à de limite pour lui, et surtout pas lui; déjanté, il n'aime pas se prendre au sérieux et ne manque jamais une bonne occasion de foutre le bordel, ou simplement de se faire remarquer. Les conséquences de ses actes lui passe généralement bien au dessus, sauf quand c'est par interêt qu'il agit.
Enfin, le dernier point concerne son frère, Herne. Car si Hotto, lui, est une masse d'arme bougrement difficile à détruire, son frère est quelqu'un de doux, calme, plein d'émotions; bien qu'étant jumeaux et mesurant la même taille, on voit immédiatement que Herne est extrèment fin, presque anorexique, à côté de son frère. C'est la seule personne que Hotto aime sincèrement, sans aucune arrières pensées et aucune animosité, même si ils sont le jours et la nuit.

-Histoire :

Tout commence il y a 20 ans, dans un orphelinat perdu au fin fond de la Russie. Ce jour là, au dortoir, on déplore un mort. Sans famille, sans lien avec personne. Sans corps même. Ce jour là, à 22H 30 précisément l'enfance d'Hotto s'arrête. Il a vu le directeur toucher son frère. Hotto sait. Il a vu des magazines, et doute très franchement que Herne soit une fille.
Il était derrière la porte du bureau depuis deux minutes déjà; n'étant pas apprécier de la plupart de ses compagnons d'infortune ou des "accompagnants", à cause de ses antécédents violents et de son air de spectre monstrueux, sa disparition est passé tout à fait inaperçu, tout comme celle de son frère, Herne. Herne qui à été convoqué chez le directeur pour une obscur raison. Mais Hotto sait. Il sait les rumeurs, les dires. Même les fées dans sa tête lui disent que c'est le mal.
MR Utravech, sexagénaire détestable, va faire quelque chose de méchant à son frère. Collant une oreille presque pointue contre la porte, Hotto entend les supplications de sa moitié, ses pleurs. Il a peur, ils ont peur. Un bruit de braguette qui s'ouvre donne l'alerte. C'est le moment que choisit Hotto pour intervenir. La porte est fermé à clé, mais Hotto est plein de ressource. De plus, la porte est composé d'une fenêtre centrale assez peu épaisse. Alors il ne reflechit plus.
Après avoir pris un peu de recul, le jeune garçon fonce tête baissé contre cette porte qui le sépare de sa raison de vivre et la brise en milles éclats, sous le regard colérique de ce sale pervers de Mr Utravech. La Babagaya serait apparue à la place de Hotto que l'homme s'en serait pas moins montrer aussi arrogant. quant à Herne, qui est à présent nu et attaché, allongé sur le bureau, pleurant toutes les larmes de son corps, il en profite pour se démener afin de se mettre à l'abri.
Il y a un battement, et Hotto, déjà accroupie, ramasse deux morceaux de verre suffisamment grand et pointu à son gout, en relevant la tête vers l'homme qui tente de ranger sa queue dans son pantalon avant de fermer sa braguette. Ses mains se coupent en les serrant, son sang coule. Hotto ne le sent pas. La haine, la fureur, le rejet accumulés dans ses veines bouillonnent. Il les hais tous. tous autant qu'ils sont. Et Mr Utravech plus que tous les autres. Lui, il ne le perd pas des yeux.
Il ne dit rien, mais fonce avant que le directeur est le temps de réagir. Un dernier bond de deux metres et il enfonce le morceau de verre de les parties du directeur, avant que la braguette en acier ne soit trop haut pour l'en empecher. Puis, sans retirer l'arme castratrice, enfonce le seconde bout de verre dans la gorge de Mr Utravech avant qu'il ne puisse crier. Le vieux s'effondre dans un fracas sinistre, se noyant dans son sang avec un silence particulièrement malsain.
Hotto est debout, face à son frère, qui se cache dans un coin, les larmes toujours aux yeux. Recroquevillé, il voit son frère pleurer lui aussi. Ses mains saignent. Alors, et pour une raison que Herne ignore, il voit un sourire nouveau s'afficher sur le visage de Hotto. Un sourire fou. puis, Hotto amène une de ses mains à sa bouche, et lèche le sang qui en coule. La fin commence.



Hotto rentre tard, comme tous les soirs, pense Herne en ouvrant la porte. Son bras droit le picote, depuis deux heures. Il a mit de la crème, ça devrait aller mieux. Il ne comprend pas quel genre de boulot pourrait forcer son frère à sacrifier son precieux sommeil, et en plus rapporter assez pour se permettre d'avoir des jours de pause, et des vacances. Ils vivent depuis 3 ans en appartement, au plein coeur de Los Angeles. La ville du péché. il aime bien, lui ,vivre là. Depuis qu'ils sont ici, Hotto semble heureux. Lui, qui quant ils ont décidé, en plein hiver, après avoir tuer le directeur, de quitter l'orphelinat en lui disant à peine pourquoi Herne avait eu droit à un manteau chaud, malgré la "soi disante" urgence de quitter les lieux. Son frère n'en avait pas pris pour lui. "Je suis un démon, Frère. Les démons se rient de la tempête", lui avait il dit. Et il était parti. durant des heures, dans un froid digne du 9eme cercle infernal, il avait marché... Marché... Jusqu'à ne plus sentir leurs pieds.
Le temps est passé. Ils avaient pris l'avion avec des billets volés, et avait disparu de Russie pour atterir ici. Hotto et lui vécurent un certain temps de vols et de rapine. A l'âge de 13 ans, Hotto leur trouva un squatt dont il avait viré à grand coup de pied au cul et quelques coups de feu les anciens propriétaires. Maitres de leurs faits et gestes, Herne suivait des études que Hotto payait en travaillant. Le même travail qu'il effectuait à présent. Cependant, il restait plus tard. Herne se disait souvent que c'était parce que depuis 5 ans, il avait un appartement à eux.
La sonnette. Le bruit retentissant dans ses tympans, très sensibles, lui lance une décharge électrique et le fait sursauter. Hotto ne sonne jamais à 2 heure du mat, il se contente juste de rentrer. Etonné, Herne approche de la porte enlève les verrous. Il ne reconnait pas les deux protagonistes qui tiennent un homme dégoulinant de sang, avec une expression à la fois triste, affolée et dégoutée. en revanche, Herne reconnait tout de suite l'homme. Hotto est mal en point... Et il lui manque son bras droit.
Complètement paniqué, c'est comme si il était dans un monde lorsque la jeune femme ouvre la porte en un peu plus grand, leur permettant d'entrer. Elle jette presque Hotto sur le divan, avec un grand homme blond, plus grand que son frère.
Raide comme une poutre, Herne ne sait pas quoi faire. Il ne comprend pas...

"HEY! FERME LA PORTE!"

La voix d'enfant de la jeune femme lui lance une autre décharge, qui le fait encore réagir, lui faisait enfin remettre le verrou. Son frère pisse le sang. Hotto est mal. Il n'est pas mort. Ils ne sont pas morts.

"Va chercher la glace, je fouille votre salle de bain!"
"Mais... On ne l'emmène pas au urgences...?"

La jeune femme lui lance un regard étonné. Herne la trouve belle. Ses longues boucles brunettes et ses atébas ecadrent un visage rond et un peu gamin. Ce détail lui passe par les yeux puis il revient vers son frère. Herne n'est pas sûr, mais il crois comprendre. Alors il court à la cuisine, tandis que elle va dans la salle de bain. Le géant blond reste là. Hotto a encore les yeux grand ouverts, et ses trois balles dan le torse semblent à peine le faire souffrir. Cependant, son bras manquant, lui, lui arracherait des hurlements si il ne se retenait. Sombrant dans l'inconscient, il revient à la réalité avec une vitesse prodigieuse. Erik vient de lui foutre une très belle tarte à la la fraise.

"Connard."
"C'est toi le connard. Pourquoi tu t'es mis devant El'? J'croyais que tu n'aimais que toi..."
"C'est exactement ça. Je n'aime que moi, et mon frère..."
"... Abruti..."
"Connard."

Et Hotto retomba dans l'inconscient.
A son réveil, Elhone avait fait des merveilles. Cette petite tueuse de 18 ans était aussi très douée en médecine: plus de balles dans son corps, le bandage autour de l'épaule droite a été parfait. Seul, dans sa chambre, Hotto se surprend à se demander comment il est rentrer dans l'Organisation. Ca c'est fait tellement naturellement... 17 ans. Son huitième meurtres. Erik le remarque. Lui propose de devenir des leurs. Il refuse. Erik insiste. Ils se battent. Erik perd. Hotto accepte. C'est vraiment étrange, pense t il en se redressant. Je sens mon bras qui me picote encore.
C'est alors que Herne frappe à la porte. Ah. Oui. Bon. Va falloir s'expliquer maintenant...
Hotto explique qu'il fait partit d'un des syndicat du crime les plus puissants de la terre. Que si ils ont cette stabilité, c'est grâce à cela. Hotto ajoute:

" On quitte les lieux, mon frère."
"Mais tu n'es même pas encore guérit!"
"Je suis un démon, frère. Les démons cotoient toujours la souffrance."



Erik est plein travail. Plus précisément comme flic, derrière un bureau. Il porte le costar cravate qui lui était détestable, cinq ans auparavant. Aujourd'hui il s'y est fait. Ca fait cinq ans qu'il joue son rôle de flic corrompu: il le fait avec un naturel tout à fait visiblement. Elhone les a suivit dans leur épopée folle. El', elle est devenue une simple humaine dans la masse: elle s'est litéralement fondue au paysage. Enfin, en apparence. Elle est toujours chasseuse de prime, et gagne bien sa vie.
La pourriture met moins de temps à s'adapter que le bon fruit, conclut Erik en finissant de taper son rapport. Retirant la feuille de la machine, il se retourne nez à nez avec... Un fessier tout pâle qui parle.

"Salut ma pétasse! Tu te fais à la vie japonaise? "Dairoquii Fuyai", ça c'est de la ville! Qu'est qu'on se marre, pas vrai?! "

Un peu surpris, Erik ne remarque pas immédiatement que se sont des mains qui font bouger la raie, et que c'est une voix mimée qui vient d'un peu plus loin, qui fait office de dialogue.

" Par contre, la bouffe, c'est pas encore mon karma! En parlant de ça, t'aurais un chewing gum? "

Erik, se relevant, devient tout rouge. Non, decidément, Hotto a un humour très particulier. Lui, il vient de le voir de temps à autre. La dernière fois, il s'est deguisé en femme et c'était fait passé pour la sienne, mimant dans son bureau une engueulade de couple. "Le chewing gum, en suppositoire ou par voix oral?", demanda-t- il en tapotant ses feuilles, histoire d'un faire un paquet bien rangé. Certe, Hotto restait un bon ami; ce n'était pas pour rien qu'il avaient tous les trois quittés l'Organisation et été à l'autre bout du monde, apprennant très vite la langue et s'adaptant à leur environnement. "Comment va ta prothèse, d'ailleurs?" ajouta Erik en sortant un chewing gum. "Bien ma foi! elle est pas très rapide, mais c'est mieux qu'aux débuts!" lança en rigolant Hotto, remontant son pantalon jean et se retournant vers son ami en lui retirant le chewing gum des mains. Il utilisait alors sa main droite, celle en acier et en fils electriques. L'opération avait couté une petite fortune, mais avait été un vrai succès: depuis, Hotto avait reprit le travail, le même que Elhone. Ils travaillent d'ailleurs en binome, et ça leur réussit plutot bien.

"Je vois ça...", dit Erik en prenant le chemin de la porte, près à laisser Hotto seul dans le bureau. Celui ci s'assit sur le dit bureau et ouvre un tiroir au pif. Celui-ci contient un 9 mm non reglementaire. Hotto l'observe et sourit.

"J'ai recontacté l'Organisation. On est exactement ou ils veulent qu'on soit."
"Ah... QUOI?"

Hotto ote alors le cran de sécurité, alors que Erik ouvre grand la bouche en se retournant, et referme la porte d'un claquement sec. Ils savent tous les deux que jouer avec l'Organisation, c'est comme jouer à la roulette russe. Et là ou Hotto a toujours aimé ce genre de jeu, Erik, lui, reste un peu prudent.

"Tu refléchis un peu à ce que tu fais?"
"Tu sais, il y a un gang en ville, les free lance... Je vise du grade..."
"AH OUAIS, dit Erik en haussant la voix, ET TU COMPTE T'Y PRENDRE COMMENT POUR FAIRE QUOIQUE SE SOIT SI T'ES MORT?"
"Baisse d'un ton, la blonde. Je te dis qu'on est exactement là où ils l'ont décidé. Et j'ai un plan."
"J'en suis fort aise! Et c'est quoi encore, ce plan surement aussi foireux que celui qui visait à détruire l'Organisation pour avoir la paix?"

Analysant en même temps des yeux le 9mm modifié, Hotto le pointe vers Erik, le tourne un peu sur la droite puis sur la gauche. Il hésite à faire une remarque, mais devant l'expression grimaçante de Erik, le dreadeux finit par reposer l'arme. Il lui dira que son arme manque un peu de maniabilité plus tard.

"Et bien, tu vas commencer par quitter la police, et entrer avec moi et Elhone dans les freelance. De toute façon, être un simple petit pion minable sans avenir c'est pas pour toi, à moins que je me trompe. Ensuite, fait moi plaisir laisse moi m'amuser un peu. On va voir le "chef" provisoire et on discute. Je verras à ce moment là."
"T'es complement à l'ouest."
"Tu marches ou pas?"

Le visage de "homme bionicle", comme Erik et Elhone se plaisent à l'appeler parfois, prend alors une expression que le policier deteste. Celle qui le fait sourire comme un taré, et en même temps plisser les yeux comme un psychopathe. Cet mime lui donne l'air non seulement menaçant, mais aussi sadique. Erik le sait, Hotto est quelqu'un de particulièrement borné. Mais aussi de pres à tout pour ce qu'il desire. Et même si c'est assez effrayant, Erik sait que si il refuse, le sympathique flingue qu'il s'est fabriqué pour sa protection va le tuer. S'approchant du bureau ou Hotto le regarde toujours avec un air malsain, Erik pose les feuilles et baisse la tête en soupirant avant de remonter vers le regard de H1.

"... Je marche. Mais si ton plan s'éffectue jusque dans les moindres details, je mange mon insigne."

Soudain, l'ambiance tendue semble s'envoler. Le sourire et de Hotto se fait beaucoup moins menaçant, juste satisfait. Attrapant l'arme, il la repose sans precaution dans le tiroir, se redresse et se lève, alors que Erik, va donner sa démission et ouvre une fois encore la porte. C'est un assez bonne journée pour moi, pensa Hotto en commençant à jouer avec un sablier present qur le bureau. C'est alors que la porte s'ouvrit à nouveau, et qu'une tête blonde se montre dans l'entrebaillement.

"Ah, juste un truc!"

[i]hotto lance un regard vers Erik.[/i

" Le nom de la bourgade, c'est Daitoshi Fuhai, gros naze!"
"C'est ce que j'ai dit! Dégage!"

[the end, with modification!]

-Famille: Son frères jumeaux, Herne. Personne d'autre.

Fiche validé

Tu peu aller rp ! ^^